mercredi 31 décembre 2014
samedi 27 décembre 2014
le soleil et la mer…
Cabot enivré par le son des vagues…
Il est venu s'étendre près de mon transat et y a dormi, dormi… pendant que je me laissais bercer par l'onde marine. C'était encore assez calme, avant l'arrivée de la horde touristique…
À ta santé Arabella !
Elle a les caractéristiques de l'enfant Indigo, rousse, intelligente, sélective, libre et ouverte à la spiritualité. Une enfant qu'on qualifie de trop différente pour suivre l'enseignement régulier, ça va de soi. Elle a tout de même le privilège d'avoir une mère qui voyage, étant journaliste, et qui lui permet d'être elle-même. Elles sont de Léttonie.
vendredi 19 décembre 2014
Atlas & Mercedes-Benz
L'Atlas enneigé, vu du taxi.
Avec toute la pluie qui nous est tombée dessus, il y a de la neige pour les skieurs. C'est le paysage qui trône sur la route de l'Ourika, le trajet pour revenir à la maison. J'admets que c'est beau, de loin… Je vais à l'Oukaïmden l'été, quant la montagne transmet un peu de sa fraîcheur.
Le grand taxi, une vieille Mercedes, est un moyen de transport collectif et peu coûteux. Les gens sont parfois étonnés de voir que je me déplace comme eux, ce qui rend les conversations amicales et très animées.
dimanche 14 décembre 2014
mardi 9 décembre 2014
une belle connerie…
Photo : Associated Press
Comme quoi Greenpeace fait aussi des conneries…
Des membres du groupe écologiste sont entrés dans la zone d'accès interdit,
près de la forme du colibri, et y ont déroulé de grandes lettres de tissu
jaune : « Time for change ! The future is renewable. »
« C'est le temps de changer ! L'avenir est renouvelable. », suivis de la signature « Greenpeace ».
www.lapresse.ca
www.lapresse.ca
samedi 6 décembre 2014
Ardi, grand-père de l'humanité
Lucy ou Dinknesh, "la merveilleuse" grand-mère de l'humanité…
Je fais un retour vers le blog de Nelly, sur le thème de l'humanité, où elle parle d'Adam comme étant notre grand-père biblique. Comme l'an dernier, nous encadrons les projets personnels en 1ère année, dont la recherche se fait à travers un blog. Voici son lien : unespacepourfairenosgammes.blogspot.com
Je vais donc
remonter à la préhistoire...
C'est au musée
national d'Éthiopie, à Addis Ababa, aux côtés de Lucy, découverte en 1974 à
Hadar, qu'on retrouve l'ensemble du registre fossile éthiopien, le plus riche
du continent africain. Cela inclut d'autres célébrités, comme Ardi ou Ardipithecus
Ramidus, le plus ancien squelette d'hominidé connu à ce
jour. Datant de 4,4 millions d'années, c'est le dernier ancêtre commun aux
humains et aux chimpanzés. L'exposition héberge aussi Selam : paix en
amharique, un autre fossile exceptionnel trouvé en 2000 dans la même région que
Lucy. Le squelette quasi complet de ce bébé australopithèque, une petite fille âgée
de 3,4 millions d'années, a permis de mieux comprendre le mode de croissance de
l'espèce Australopithecus afarensis.
Cela fait donc de Ardi,
notre grand-père biologique.
www2.cnrs.fr/presse/communique/3835.htm
lundi 1 décembre 2014
la Vénus de craie
Vénus de Renancourt . Craie . 12 cm . -23 000 ans
La statuette en craie appartient à la culture gravettienne de l'homme de
Cro-Magnon, entre -29 000 et -21 000 ans.
Une image symbolique de la femme qui
tourne autour de la fécondité. La poitrine et les fesses sont les éléments majeurs de cette représentation peu réaliste, où la tête et les bras sont suggérés.
La Presse
samedi 29 novembre 2014
samedi 22 novembre 2014
l'anti-Barbie
lammily.com
Lammily est petite : 28 cm et brune, avec des
formes anatomiques réalistes et même de la cellulite en option, pas de silicone, ni retouche Photoshop… toute naturelle.
« Être une femme normale, c'est beau », slogan de la poupée créée par Nickolay Lamm, un jeune graphiste de 26 ans.
« Je n'ai rien contre les top models, mais ça donne l'impression que
quelque chose cloche chez vous. J'ai voulu montrer que c'était très bien
de ressembler à une personne normale ».
vendredi 21 novembre 2014
Voyage intersellaire
www.interstellar-movie.com
J'aime les films d'anticipation, un peu moins la science-fiction.
Interstellar explore le thème de la colonisation d'exo-planètes, avec la physique quantique en arrière-plan, la courbure du temps et la gravité, très intéressant ! Des données scientifiques qui ne présagent toutefois rien de très encourageant.
Ce ne sont pas les plans et les effets époustouflants de Gravity, mais
tout de même... Les abords de Saturne et de Gangartua, un trou de verre, ne
m'ont pas laissée indifférente.
Christopher Nolan est passé maître dans l'art de jouer avec les images de les transformer pour nous faire passer à d'autres dimensions. Quelques longueurs, mais un film bien ficelé, dont je suis sortie un peu triste... ou préoccupée par le sort de notre civilisation, ça va de soi. L'amour ne suffit jamais à tout raccorder, on le sait ! Et tout comme Brand, je n'ai pas peur de la mort, mais du temps…
On sait aussi à quel point notre belle planète bleue se dégrade sous l'effet de serre, suite à l'activité humaine qui s'échauffe au fil des jours et la masse de déchets qui s'accumule encore et encore…
J'ai aussi très hâte de voir le film sur la vie de Stephen Hawking, qui a poursuivi le travail d'Einstein et élaboré une nouvelle théorie sur les trous noirs.
Après l'alunissage d'Apollo 11 en juillet 1969, je rêvais de devenir astronaute, j'avais 13 ans. J'ai développé une fascination pour l'espace, les étoiles, le ciel profond, le Big Bang et les origines, de là ma démarche artistique…
Après l'alunissage d'Apollo 11 en juillet 1969, je rêvais de devenir astronaute, j'avais 13 ans. J'ai développé une fascination pour l'espace, les étoiles, le ciel profond, le Big Bang et les origines, de là ma démarche artistique…
mardi 18 novembre 2014
L'indépendance…
Les dunes de Merzouga . février 2006
C'est pour Fatima que j'écris ce billet. Une femme qui sait reconnaître le talent dans un trait, l'intelligence dans un mot, la sensibilité dans un geste… une autre femme de cœur.
C'est en me délectant "du couscous du vendredi" que j'ai partagé avec elle mon amour de son pays et que je lui ai dit qu'il m'arrivait d'écrire au roi, comme à un ami… à qui je raconte des faits anodins, chargés de liens qui m'unissent au sol marocain. Je lui ai communiqué mon admiration pour son œuvre philanthropique. Et je lui ai dit à quel point je sentais que mon destin était lié à celui du Maroc.
J'ai célébré mes 50 ans dans le désert, les pieds dans le sable de Merzouga, chez les Berbères. Je suis née à quelques jours de la signature du traité de l'Indépendance, en 1956. J'ai donc le même âge que le Maroc moderne.
Dernièrement, je lui ai écrit pour lui parler de ma nouvelle maison à Sidi Moussa, que j'ai rafraîchie pour travailler avec la terre marocaine. J'ai expliqué pourquoi j'ai quitté Marrakech, où les autorités n'accordent aucune importance à la violence des jeunes qui nous agressent pour manger.
Je lui écrirai sûrement encore pour lui raconter ce que je deviens au fil des ans, dans son pays.
dimanche 16 novembre 2014
la liberté
Yves Klein. Vénus Bleue . 1962
Aujourd'hui, c'est un hommage à Iadine, qui téléphone pour savoir si je suis disponible et qui passe comme ça, parce qu'elle a envie de me voir. J'adore ! C'est ça l'amitié !
On a vidé 1 1/2 bouteille, en partageant nos plats simples et végétariens, tout en discutant de nos projets respectifs, de tout et de rien, mais surtout de tout, et rien de superficiel…
Je découvre cette nouvelle façon de recevoir, en plein jour, les gens que j'aime et avec qui je me sens bien, en plein soleil… Bon, c'était nuageux et frais mais on avait la lumière du ciel au-dessus de nos têtes.
Iadine vient pour se sentir elle-même, une femme libre qui a, malgré tout, 3 enfants et un mari… c'est pas rien… et elle s'échappe comme ça parfois et elle choisit… parfois… ma maison.
J'aime cette femme qui assume ses choix et qui sait s'adapter aux situations qui se présentent.
Le bleu est la couleur de la liberté, de la fraternité et de la communication.
vendredi 14 novembre 2014
Amérique du Sud
Maude a retrouvé cette photo
de La Paz, Bolivia, datant de 1991. J’avais déjà l’habitude de
colorer les arrières-plans. En fait, c’est le reflet du store qui me barre le
visage et le soleil qui projette une belle lumière sur le mur derrière moi. Le
rose est la complémentaire
du vert.
Amazonia, Colombia, Photographie peinte . 122 X 91,5 cm
. 1998
Élyésée a enfilé un costume de cérémonie fait de peluche d’arbre; il attend de mettre le masque
que son père est en train de réparer. L’arrière-plan
rappelle les rituels indigènes autour du feu. C’est la lumière
filtrée à travers les ouvertures des murs de la maloca, grande
résidence faite de rondins et de paille.
Sophie, une guide française, m’a amenée dans la forêt amazonienne, à 3kms de Léticia.
Nous avons dormi dans l’ancienne maison familiale, dans nos hamacs, le long de
la rivière. Nous avions apporté de la nourriture et des médicaments pour la
grand-mère malade, et partagé 2 jours avec ces gens vivant
simplement, en pleine nature, du feu et de l’eau bouillie de la rivière.
Élyésée,
très gentil et curieux, me suivait partout, me racontant des bribes de son
quotidien. Je lui ai laissé mes bottes de caoutchouc et ma lampe de poche. Il
était intrigué par l’appareil photo, cherchant à comprendre comment je pouvais conserver son image dans cette boîte… Je lui ai
envoyé ses photos.
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