Photo : Montasser Drissi
Il y a maintenant 4 ans, on découvrait la nature de ces étudiant-es et leur talent. 3 sont parti-es en cours de route. Il en est resté 13. On dira ce chiffre chanceux ou malchanceux selon leur facilité ou capacité à trouver du travail. N'oublions surtout pas ce qu'est le marché du travail marocain… et surtout en graphisme ! Un domaine qui s'ouvre à peine à la création. On le dit toujours accessible au Bac +2. Que feront-ils face à cette contrainte ? et toutes les autres qu'ils devront confronter ? seul-es dorénavant…
Je leur souhaite tout le succès qu'ils méritent.