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vendredi 28 mai 2021

Hors normes

Vincent Cassel et Reda Kateb

Un film de Olivier Nakache et Éric Toledano avec 2 grosses pointures, qui s'investissent à fond dans leurs rôles. Des hommes à la tête d'organismes qui aident des jeunes isolés en eux-mêmes par un mal qu'on ne comprend pas et face auquel la société n'a pas de solution.
Le spectre de l'autisme est très large et à l'extrême c'est un grand vide peuplé de violence…
Le film s'inspire d'associations françaises qui existent depuis des années et qui œuvrent à redonner du sens à la vie de ces jeunes parfois laissés à leur souffrance.
Certaines personnes autistes font partie de la distribution, dont Benjamin Lesieur, qui a reçu le César du meilleur espoir masculin pour son rôle de Joseph.
J'aurais dû savoir que je ne serais pas capable de retenir mes émotions face à ce grand désespoir.
Un film à voir absolument !

lundi 24 mai 2021

The Father

Anthony Hopkins . Oscar du meilleur acteur

Je dois l'avouer, je suis sortie en pleurs et j'en suis encore remuée.

La trame narrative du film, de Florian Zeller, nous fait vivre la confusion ressentie par Anthony, à l'approche de ses 80 ans. Il ne veut pas quitter son appartement malgré ses nombreux égarements, qu'il nie la plupart du temps.

Sa fille, interprétée par Olivia Colman, est déchirée par le fait de devoir le laisser dans une maison de retraite. Un rôle d'une grande sensibilité qui prouve son talent d'interprétation, loin de la froideur de la reine Élizabeth, dans The Crown.

C'est toutefois le jeu du grand maître Hopkins qui nous laisse en mille miettes. Est-ce que j'ai transposé ma tristesse de ne pas avoir assisté mon père ? La situation, très réaliste, et le fait que nous soyons confronté·es à la confusion d'Anthony, nous oblige à anticiper notre propre vieillissement.

Oscar du meilleur scénario adapté, pour Christopher Hampton et Florian Zeller.

dimanche 28 mars 2021

À voir absolument !

Alexandre Wetter dans Miss

Ce film est très touchant par la vérité qui s'en dégage, malgré ses petits côtés loufoques. Le jeu de ce jeune mannequin androgyne est juste, on dirait même Dalida à ses débuts. Iel* est d'une grâce à s'y méprendre.
Dans le rôle de soutien, Thibault de Montalembert sort de son registre habituel, homme du monde et aristocrate, pour interpréter Lola, un travelo sur le déclin. C'est d'ailleurs grâce à lui qu'Alex ira jusqu'au bout de son rêve. Et, c'est aussi par Lola que surgissent nos éclats de rire.
En plus d'être très humain, ce film nous déride… et nous donne l'espoir d'un changement face à l'identité de genre.
À ne pas manquer !

* Alexandre Wetter n'a toujours pas de page Wikipedia.

samedi 13 mars 2021

Et du théâtre-réalité…

L’ASSEMBLÉE de Alex Ivanovici + Annabel Soutar + Brett Watson.
Avec Sounia Balha + Pascale Bussières + Amélie Grenier + Nora Guerch
+ Carlo Mestroni + Brett Watson

4 femmes issues de divers horizons sont invitées à parler d'elles, de leurs croyances et leur orientation politique. On se retrouve rapidement dans débat autour de l'islamophobie.

Intéressant ! Il y aurait aussi matière à débattre sur le racisme touchant les autochtones et la communauté noire… Il faudrait donc aborder le thème de la diversité culturelle.

J'aime beaucoup cette forme de théâtre où on nous questionne, nous faisant voir des points de vue différents, tout en nous instruisant sur un sujet d'actualité, comme l'a fait précédemment J'aime Hydro.

Un film important

Capharnaüm de Nadine Labaki est un film américano-franco-libanais.

Emprisonné pour agression à l'arme blanche sur l'homme qui a causé la mort de sa jeune sœur, Zain, un garçon de 12 ans, fait un procès à ses parents pour lui avoir donné la vie.

Un film dur, qui nous fait suivre cet enfant en quête d'identité et qui se rebelle contre la vie lui impose.

À VOIR !


lundi 11 janvier 2021

ADN

Neige déballant l'urne de son grand-père.

Il m'est impossible de faire le compte-rendu de tous les films et séries que je regarde, car c'est un exercice quotidien depuis que la culture est confinée…

Ce dernier film de Maïwenn porte sur la quête de ses origines algériennes. Suite au décès de son grand-père, qui a fait la guerre d'Algérie, la crise éclate au sein de la famille et attristée, elle entreprend les démarches pour obtenir la citoyenneté algérienne.

Je ne dirais pas que c'est aussi saisissant que Polisse, mais tout de même criant de vérité. On affiche ici les faussetés et les travers que les familles développent au fil des années.

Fanny Ardant joue sa mère et Louis Garel, son ami rigolo.



dimanche 16 août 2020

Femme(e)


Le film qui nous fait sourire, pleurer, crier, si on le pouvait… qui nous fait prendre conscience du manque de liberté que subissent les femmes dans le monde.

On partage leur vision d'elles-mêmes, du regard des autres, de leur relation avec les hommes, de leur sexualité, de la violence qui les détruit ou les rend plus fortes, de l'exploitation et de la traite humaine, mais aussi de l'amour…

On en retient leur force et leur courage. Touchant, émouvant, déchirant, éprouvant, révoltant !

Il n'y avait que des femmes dans la salle de cinéma. Ce sont pourtant les hommes qui doivent voir ce film…

dimanche 19 juillet 2020

Nuestras madres


Un film de César Diaz, qui nous présente ces femmes qui ont subi des violences pendant la guerre civile au Guatemala. Elles témoignent et dénoncent leurs agresseurs pour retrouver leur dignité et pouvoir récupérer les corps des hommes dont elles partageaient la vie.
On est touché-es par leur histoire et choqué-es par tant d'inhumanité.

Nous étions 2 dans la salle, donc un grand respect des consignes de distanciation physique…

dimanche 8 mars 2020

14 jours 12 nuits


Captures d'écran

Un très beau film de Jean-Philippe Duval, réalisé en partie au Vietnam, ce qui donne déjà des images sublimes…
Une histoire émouvante où se créent des liens autour des thèmes de l'adoption et de la mort.
On se rend compte, encore une fois, à quel point on est privilégié-es de vivre dans un pays où les femmes sont traitées égales à l'homme. Pour celles qui en doutent encore, allez voir ce film.

mardi 25 février 2020

MAFIA INC


Marc-André Grondin . Sergio Castellitto

Un vrai film de bandits, sans oublier les références au Parrain de Coppola et même au jeu de Pacino par Sergio Castellitto… excellent malgré tout.
C'est d'ailleurs un très bon film, à tous les niveaux, mais quelle violence ! ben oui ! c'est la mafia, celle de Montréal en plus. Difficile d'imaginer qu'on puisse être aussi cinglants… et sanglants… Bouh !
Toutefois, la fin est génial ! Un clin d'œil qui se veut humoristique, mais qui porte tout de même à réfléchir…


jeudi 13 février 2020

Les Misérables


Les fiches du cinéma

« Qui n'est pas capable d'être pauvre n'est pas capable d'être libre.» Victor Hugo

La nature humaine n'a pas beaucoup changé depuis 1862…
Un film coup de poing qui révèle toute la cruauté à laquelle sont confrontés ces jeunes qui grandissent dans un contexte qui les oblige à se livrer à la violence pour se défendre, pour se venger des injustices qu'ils vivent au quotidien.
Des policiers pourris, représentants de « l'ordre », qui les méprisent, les maltraitent sans remords. C'est de la grande bêtise « inhumaine ».
La vie dans La Cité, enclave dans une ville qui ne tient pas compte de la réalité de sa population Néo-Française.
On en sort ébranlé-es… même écœuré-es par ce manque d'humanisme, qui ne fera que continuer de se perpétuer…

dimanche 2 février 2020

Papicha


Un film de Mounia MeddourDes jeunes filles libres, du moins qui le croient, dans une Algérie empreinte de restrictions et de machisme, et parfois contraintes à se soumettre à ce dictat patriarcal.
On partage leur joie de vivre, de courte durée, et les violences qu'elles doivent subir pour éviter l'endoctrinement.
Un film à voir pour comprendre pourquoi beaucoup de femmes dans le monde essaient de s'extraire des obligations dictées par une religion encore trop punitive.

vendredi 17 janvier 2020

SCANDALE

Photo : cinoche.com

Un film qui expose le SCANDALE impliquant Roger Ailes, le fondateur de Fuck News, oups ! Fox News…
Il est dénoncé par une journaliste mise à pied suite à son refus de lui accorder des faveurs sexuelles et soutenue par une lectrice de nouvelle et une collègue, qui finit par démissionner après avoir été victime de ce vieux cochon.
Incroyable de se rendre compte que même en 2016 ce genre de chose était encore possible.
Les 3 actrices sont merveilleuses, même si présentées à la manière Barbie au départ et qui se révèlent au naturel petit à petit.
Charlize Theron est impressionnante ! Cette femme a la capacité de se transformer à volonté. Il s'agit de se rappeler Monster, où elle était méconnaissable.
Chapeau aussi à Nicole Kidman et Margot Robbie, qui a encore un rôle de belle fille, mais moins accessoire que dans Once upon a time… in Hollywood.
Un film à voir pour le fond plus que pour la forme.

dimanche 24 novembre 2019

ANTIGONE

Cinoche.ca

Ni de Sophocle, ni de Brecht, ni de Cocteau, mais bien de Sophie Desraspe, qui représentera le Canada aux Oscars.
Antigone contre les forces de l'ordre, contre l'aberration du système juridique, contre les usages dictées par la toge… mais pour l'intégrité, les sentiments nobles et l'humanisme.
Dans un contexte actuel, l'histoire se trame autour de l'immigration, les gangs de rue, le sentiment d'appartenance.
Desraspe transpose les faits d'actualité selon Sophocle. Antigone, devenue un modèle pour la jeunesse rebelle qui se moque, comme elle, des conventions empesées de la cour (de justice).
Antigone, guidée par les lois de son cœur, choisira donc de retourner à sa terre natale, plutôt que de mentir et d'avoir droit à la clémence de l'état.
Un bémol, le fait d'avoir repris les prénoms de la tragédie grecque. Celui d'Antigone aurait amplement suffit pour illustrer le talent de la jeune Nahéma Ricci.

mercredi 20 novembre 2019

The Crown


Je suis touchée par l'attitude du duc Philip d'Édimbourg, qui cherche un sens à sa vie d'époux royal et par son fils Charles, embrassant la cause du pays de Galles en devenant le prince. Un héritier trop humain pour accéder au trône… artiste et sensible.
Olivia Colman habite à merveille le costume de la reine Elizabeth II, rigide et sans compassion.

samedi 12 octobre 2019

FNC


Compte-rendu des films vus lors du festival, en faisant la mise à jour de cette publication au fur et à mesure.


Vendredi 11 • ATLANTIQUE • Mati Diop • France/Sénégal/Belgique • 2019
On est ici en présence d'une société dont les croyances dépassent la réalité connue et acceptée de la majorité.
Il est question d'une fable, parce qu'il est difficile de croire aux esprits… Ce film raconte comment les esprits de gens disparus reviennent dans le corps de personnes vivantes pour exprimer leur mécontentement.

Lundi 14 • MARRIAGE STORY • Noah Baumbach • États-Unis • 2019
C'est de façon intelligente et avec humour qu'on nous présente l'éclatement d'un couple. Leur déchirement à travers les avocat-es, à qui gagnerait au détriment de ces êtres, qui semblent pourtant encore s'aimer…
Un traitement sensible, qui nous fait pourtant rire par l'absurdité des situations, qui seraient trop lourdes sans l'humour sur lequel repose la trame narrative.
Adam Driver et Scarlett Johansson sont excellent-es.

Mardi 15 . TO THE ENDS OF THE EARTH • Kiyoshi Kurosawa • Japon/Ouzbékistan/Qatar • 2019
C'est toujours poétique, mais moins « fabuleux »…
On nous fait partager la réalité d'une journaliste japonaise qui fait une reportage en l'Ouzbekistan. Dans son temps libre, elle explore les villes et se perd souvent au fil de ses péripéties, d'où le ton humoristique du film. Elle réussira à sauver une chèvre et à la libérer dans la nature.
Un film divertissant et moins pictural que les précédents.

Mercredi 16 • LES FLEURS OUBLIÉES • André Forcier • Québec • 2019
Une fable écologique, cosmique, qui se veut humoristique et un peu pathétique… On ne rit donc pas autant qu'on l'aura prétendu.
Le ton est à la défense de l'environnement et des droits humains, bien sûr ! mais… Le message crève l'écran, autant par le fond que par « les formes », souvent grossièrement amenées.
Je crois que plus Forcier vieillit, plus il en met et c'est souvent superflu, au point de camoufler le message. Ça aurait pu être plus caustique et moins sarcastique.
Ça reste du Forcier…

Jeudi 17 • DOLOR Y GLORIA • Pedro Almodòvar • Espagne • 2019
Une maîtrise de l'art cinématographique est encore trop faible pour définir son travail. Almodòvar est un génie du cinéma et il nous le démontre encore.
Un autoportrait ? Un témoignage ? Une confession ? Ce qu'on veut, mais c'est avant tout du grand CINÉMA !

Jeudi 17 • BIRD TALK • Xawery Zulawsky • Pologne • 2019
Le fils d'Andrej Zulawsky réalise le dernier scénario de son père. Celui qui a réalisé L'amour braque, La femme publique, Possession… pour n'en nommer que quelques-uns des plus forts en émotions.
Le fils joue entre le théâtre et le cinéma, comme son père. Il reprend d'ailleurs plusieurs de ses effets, mouvement de caméra très rapides et déplacements qui cernent les personnages.
Même s'il y a trop de caméra à l'épaule, les effets visuels sont intéressants et on sent la nouveauté. C'est parfois déjanté et violent, mais le ton y est. C'est du nouveau cinéma.

Vendredi 18 • LE JEUNE AHMED • Luc + Jean-Pierre Dardenne • France/Belgique • 2018
Il n'y avait que les frères Dardenne pour faire ce film en temps de polémique autour de l'islam et de la radicalisation.
On partage le parcours de ce jeune pris dans les filets de la religion avilissante, malgré les efforts des membres de sa famille, moins stricts face aux exigences religieuses de l'Islam et d'une enseignante qu'il juge « infidèle ».

Samedi 19 • VARDA PAR Agnès • Agnès Varda • France • 2019
Très bel autoportrait, fait à travers des causeries sur ses thèmes de prédilections : l'inspiration, la création et le partage. Un beau survol de son œuvre, inspirante et gigantesque, tout en étant d'une grande simplicité. Elle s'est inspirée de la vie et des gens…
Une artiste qui a su se renouveler, en passant du cinéma à l'art visuel, tout en explorant les tendances du moment.
Agnès Varda est morte le 29 mars 2019.

Dimanche 20 • A HIDDEN LIFE • Terence Malick • États-Unis/Allemagne • 2019
Si on exclut le fait que ce soit un drame psychologique en temps de guerre, on peut dire que le langage auquel nous a habitué Malick est bien présent. Le rythme lent qui nous permet d'apprécier l'émotivité des personnages à travers des gros plans, la qualité de l'image, de vrais tableaux… la nature et la musique sont omniprésentes et collaborent à construire l'atmosphère, nous faisant passer de la zénitude au drame… de la tendresse à la violence.
Pourquoi les nazis étaient-ils aussi cruels ?

LE FESTIVAL DU NOUVEAU CINÉMA EST TERMINÉ !

lundi 7 octobre 2019

JOKER

Le Joker de Joaquin Phœnix

Un excellent film de Todd Phillips, saisissant et violent, mais où la cruauté est encore plus criante…
La performance de Joaquin Phœnix, qui n'a plus à prouver son immense talent, est spectaculaire !
Un reflet de la société, celle qui s'est forgée au fil des années par son grand besoin de capitalisme et de performance…
Arthur est un être qu'on a trompé, avili à force de sévices corporels et psychologiques, on l'a humilié, tabassé, au point de le laissé meurtri. Son rire, qui l'étouffe, se confond à des pleurs, trop longtemps contenus…
Il n'a pas le sentiment d'exister jusqu'au jour où il abat 3 hommes, dont il subit une agression. S'amorce alors un changement, on l'a remarqué, lui cet homme au masque de clown, il existe…
Sa vengeance lui donne un visage et il se fait justicier pour toutes les victimes de la société, comme lui… Il est le Joker qui ne blague pas…
Le commentaire de l'imam Hassan Guillet me revient à propos d'Alexandre Bissonnette, le tueur du Centre culturel islamique de Québec, en 2017. Il disait de lui qu'il était une des victimes.
C'est exactement ce que nous démontre ce film, comment la société crée des monstres à partir de ses propres victimes.
Peut-on leur pardonner malgré tout ?

samedi 28 septembre 2019

Greta à Montréal…

Greta a séduit la foule en faisant plusieurs parallèles entre nos pays. Elle était visiblement très heureuse de la participation des Montréalais-es.
Photo : LE DEVOIR / capture d'écran

C'est sous la protection de l'ange du Mont-Royal
que s'est amorcée la manifestation.


C'était un rassemblement important et surtout très émouvant. Une fille de 16 qui réussit à mobiliser la population planétaire, c'est impressionnant !
Il y avait, selon les médias, près de 500,000 personnes de toutes les générations. C'est donc dire que le Québec est vert et j'espère que les dirigeant-es vont en tenir compte.

samedi 14 septembre 2019

Parlons encore de cinéma…


Comme si je ne faisais que ça… aller au cinéma.

« Le chant de la forêt » de João Salaviza et Renée Nader Messora, est une collaboration Brésil-Portugal, présenté au Festival Présence Autochtone et primé à Cannes : Un certain regard.
Ce film nous présente la réalité des Chamans d'Amazonie, soit la communication avec les forces de la nature, tout comme avec les esprits.
Ihjãc qui, d'après ses aptitudes, devrait devenir Chaman, s'enfuit pour échapper à ses responsabilités.
Un film sensible et qui peut sembler peu réaliste si on ne sait pas ce qu'implique être Chaman.

Dans un tout autre registre, mais toujours en lien aux Autochtones, à qui on semble vouloir redonner l'importance qu'ils méritent, « Museo » film mexicain de Alonzo Ruizpalacios, Ours d'argent du meilleur scénario à la Berlinale.
On nous démontre l'importance de l'art maya à travers la collection d'envergure du Musée national d'anthropologie de Mexico.
Ce film s'inspire d'un fait réel qui a secoué le pays à la veille de Noël 1985. On y démontre également comment peuvent disparaître des pièces d'une valeur inestimable aux mains de collectionneurs étrangers.

Ici, le lien se fait par la nature… et le besoin de vivre librement.
Photo : TIFF / Toronto International Film Festival
« Il pleuvait des oiseaux » de Louise Archambault, film d'une grande sensibilité.
On nous oblige à réfléchir au vieillissement, mais surtout à la vie, à la liberté, de penser, de choisir la façon dont on veut vivre et surtout de mourir. Film d'actualité avec le débat entourant les nouvelles mesures à prendre pour l'aide médicale à mourir.
Andrée Lachapelle, Gilbert Sicotte et Rémy Girard sont remarquables. 3 personnages différents, tant par leur passé que par les raisons qui les incitent à fuir la société.
Un film qui s'est inspiré du roman de Jocelyne saucier.

lundi 27 mai 2019

Éthiopie


On parle beaucoup de l'Éthiopie en ce moment et de son expansion. Ce pays le mérite bien après toutes les épreuves que ses habitant-es ont endurées.
Le berceau de l'humanité, où est gardée une des répliques de Lucy, la grand-mère de l'humanité. Des gens chaleureux, curieux et ouverts sur le monde.
Quelques photos qui font preuve de son épanouissement, tout comme le suggère le nom de la capitale Addis-Abeba : la nouvelle fleur.
Ce fut tout de même la plus éreintante des Aventures du sac orange… un voyage réalisé en 2013. Toutes les routes du pays étaient en construction, le chaos total ! J'en suis revenue fourbue et avec une douleur au cou, qui a pris bien du temps à se résorber…