vendredi 21 février 2020

Danse Beethoven


Les Grands Ballets se sont donnés le mandat de célébrer le 250e anniversaire de la naissance du plus grand des romantiques, le fougueux Beethoven, qui a marqué la musique par son modernisme.
On assiste à 2 de ses grandes symphonies : la 5e, chorégraphiée par Garreth Smith, mettant en scène tout le grandiose de la personnalité du compositeur, par le ballet lui-même, les costumes, l'éclairage et naturellement, la performance de la troupe au grand complet. On est parfois dans le tape-à-l'œil, le débordement, l'aveuglant, mais c'est du Beethoven… et son énergie transparaît.
Pour la 7e, chorégraphiée par Uwe Scholz, on reste dans un classicisme plus géométrique et encore là, la troupe excelle par sa maîtrise de la technique classique.
Ce grand humaniste a laissé une œuvre impressionnante malgré la surdité qui l'a frappé à l'âge de 27 ans. Il a poursuivi son travail pendant encore 30 ans, sans même pouvoir entendre ses compositions. Ahurissant !