dimanche 27 mai 2018

Vendetta . Storie di Mafia

Les Grands Ballets Canadiens en répétition

Vendetta, œuvre d'Annabelle Lopez Ochoa, est un spectacle qui se rapproche de la comédie musicale, faisant un lien avec le Music-Hall et le cinéma muet.
On vit les dessous de la mafia italienne, les rivalités et les pactes qui se signent pour acheter la confiance du clan ennemi.
Ici, on assiste à une passation du pouvoir de père en fille. L'héritière reste seule à régner avec sa fille… ayant éliminé tous ceux qui ne suivaient pas sa loi. La continuité est assurée et cette fois-ci, de mère en fille…
L'auteure serait-elle féministe ?

samedi 26 mai 2018

Gauguin à Tahiti

Vincent Cassel en Gauguin, libéré des contraintes de la bourgeoisie.

Gauguin ne s’exile pas à Tahiti, il fuit la superficialité. C'est ce qui fera de lui un des grands peintres du siècle dernier. Il meurt aux Îles Marquises en 1903, seul, pauvre et malade, nous laissant une œuvre mémorable.
On partage le moment où il vit avec Tehura, celle qui deviendra la modèle pour nombreuses de ses toiles, personnifiée par Tuheï Adams.
Un film de Edouard Deluc, qui nous montre l'artiste dans cet homme qui choisit la liberté, malgré toutes les souffrances qu'il doit endurer. Il délaisse aussi sa femme et ses 5 enfants… pour vivre son art.

dimanche 20 mai 2018

la terre vue du cœur…

Un film qui nous donne le pouls de la situation… dramatique, il va sans dire…

C'est un désastre, engendré par nul autre que l'être humain… Nous en sommes à la 6e extinction de l'espèce et peu de temps nous reste pour renverser le processus. L'élevage industriel est la 1ère cause de la dégradation de l'écosystème. Rien de nouveau pour moi qui le crie haut et fort depuis au moins 40 ans.
Il y a peut être un petit espoir avec l'entrée d'Uranus en Taureau, planète rebelle et des grands bouleversements, qui arrive dans le signe de la terre…
Pour les gens plus sensibles, voici le lien vers une vidéo produite par Roland Legrand, qui explique très bien ce phénomène astronomique : www.youtube.com/watch?v=nzXO1MVlLqM

samedi 19 mai 2018

amour & paix…

Harry et Meghan, duc et duchesse de Sussex
ICI Radio-Canada.ca

C'est le plus beau symbole d'évolution auquel on peut assister. Une rencontre des classes sociales, des cultures, des religions… Un message d'amour et de paix.
Bravo à ces 2 êtres qui ont su se respecter en ne se pliant pas aux conventions : Meghan entre seule à l'église et Harry ne rase pas sa barbe.

jeudi 10 mai 2018

Giacometti au féminin

Femme (plate V) . vers 1929 . plâtre

4 femmes sur socle . 1950 . bronze

Femme Leoni . 1947-58 . plâtre peint

Caroline . 1965 . huile sur toile

Femme debout II . 1959-60 . bronze
Homme qui marche I . 1960 . bronze

La forme peinte des débuts s'inspire de différents mouvements artistiques l'ayant précédé, dont le fauvisme par les couleurs et le pointillisme par la touche saccadé du pinceau. On sent toutefois le besoin de personnaliser son art.
L'existentialisme et la philosophie de l'absurde qui circule dans le cercle des intellos fait surgir l'Homme qui marche.
En sculpture, il s'imprègne de Sumer et de l'Égypte, dont la Femme Leoni est un bon exemple.

lundi 7 mai 2018

Shillong : un système matrilinéaire…

Femmes Khasi à Shillong, en Inde

Malgré toutes les horreurs faites aux jeunes femmes indiennes depuis quelques années, il existe un endroit où les femmes sont totalement libres, même plus que les hommes. Un lieu où elles ont davantage de pouvoirs. Cet endroit existe à Shillong, ville de 3 millions d'habitants dans la région du Meghalaya, au carrefour du Tibet, du Bangladesh et du Myanmar.

voir la vidéo : www.youtube.com/watch?v=0POqKCTbmoA

samedi 5 mai 2018

ORIGAMI suite…

Abderrahman Benhatoum . Origami . 2012

En volume, on commençait avec le papier et l'origami pour les techniques de pliage. Ici, la grue en 16 étapes, habillée avec des coupures de magazine. Il y avait toujours des surprises et une belle volière. 120 étudiant-es à l'ésav en 8 ans, ça fait beaucoup d'oiseaux…

ORIGAMI


Affiche et scène du film ORIGAMI, avec François Arnaud.

Patrick Demers joue avec les interdits cinématographiques et nous transporte dans un univers fantastique et trompeur. On s'attend à entrer dans un monde métaphysique et on se retrouve en plein drame humain, qui nous "renverse" et dont il doit effectivement être très difficile de se remettre.