dimanche 31 décembre 2017

2018


Il semble que nous allons enfin évoluer et laisser derrière nous des archaïsmes qui traînent depuis trop longtemps. Une vidéo de Christian Duchaussoy nous révèle qu'un nouveau cycle a été amorcé en 1989, après 3 600 ans de patriarcat, depuis Abraham.
On peut comprendre que les femmes intégreront leur Animus pour se réaliser, pour devenir des dirigeantes et non plus des mères. Ainsi, les hommes se retrouveront en face de leurs égales et pourront aussi intégrer leur Anima. Un équilibre du Yin et du Yang dans l'univers…
Une grande évolution est à prévoir au niveau de l'humanité. Nous devons aussi nous attendre à une baisse de natalité et à une future extinction de notre espèce, comme bien d'autres… Serait-ce le sort des civilisations évoluées ?

Astrologie mondiale 2017/2018 . Christian Duchaussoy

https://www.youtube.com/watch?v=-9CbCfqmuXU

lundi 11 décembre 2017

2017 en publicité

http://www.dailymotion.com/video/x5gp16f

Ma pub préférée est de loin celle des autruches de Samsung, dont le message "Do what you can" se retrouvait ailleurs…
Encore beaucoup de messages qui portaient sur les personnes handicapées, sans toutefois la pitié pour nous montrer ce que les gens étaient capables d'accomplir malgré leur mobilité réduite. Bravo !

Les autruches me rappellent un peu une de mes illustrations au Prismacolor sur Canson, que voici…

samedi 25 novembre 2017

Les Enivrés

Les Enivrés de Ivan Vyrypayev au Théâtre Prospéro

Une distribution à couper le souffle : Paul Ahmarani . David Boutin . Maxime Denommée . Benoit Drouin-Germain . Maxim Gaudette . Marie-Pier Labrecque . Marie France Lambert . Marie-Eve Pelletier . Dominique Quesnel . Évelyne Rompré livrant une performance de haut calibre.
On joue la dérision sur un texte qui présente des réalités auxquelles fait face la société. On sort de là un peu étourdi, tellement la soulerie des personnages est avancée, mais avec un peu de recul, on comprend que les thèmes abordés, souvent de façon surréaliste, sont ceux qui nous préoccupent au quotidien.
Aux amateurs de théâtre contemporain : À NE PAS MANQUER !

samedi 18 novembre 2017

Barbara

Barabar par Amalric, un film d'une grande sensibilité artistique et une Barbara admirablement interprétée par Jeanne Balibar.
L'amalgame nous laisse parfois abasourdis, au point où on ne peut distinguer les moments où s'amorce le tournage du film sur la vie de Barbaba et les scènes puisées dans les archives.
Je dirais que c'est un film sur l'art de faire du cinéma.

vendredi 17 novembre 2017

Le crime de l'Orient Express


Toute une distribution ! À commencer par Kenneth Branagh, qui réalise et personnifie le stoïque Hercule Poirot. Un Johnny Depp qui campe un mafioso qui lui va à merveille, un personnage dont la brève apparition ne nous laisse pas indifférent-es. Une Michelle Pfeiffer au charme auquel il ne cède pas. Judi Dench, toujours aussi grandiose dans le personnage d'une comtesse aigrie. Penélope Cruz, tout de même crédible dans ce rôle de missionnaire qui affiche des airs de sainte nitouche. Et Willem Dafoe, prétendu professeur qui arrive à nous convaincre du racisme qu'il affiche avec véhémence.
Un classique reprit maintes et maintes fois, dont on connaît le dénouement et qu'on oublie pour se laisser porter par le jeu de ces grand-es du cinéma.
Bravo encore à Agatha Christie !

mardi 7 novembre 2017

le grand Leonard…

Le grand Leonard à qui Montréal rend hommage tant à l'est qu'à l'ouest… Une 1ère murale créée durant l'été sur le boulevard Saint-Laurent par Kevin Leto et maintenant celle de la rue Crescent, créée par El Mac et Gene Pendon.

voir la publication du 27 juin pour celle de Kevin Leto.

samedi 14 octobre 2017

Stabat Mater

L'affiche qui a semé la controverse à de la Société de Transport de Montréal, refusant de la poser dans le métro ne voulant pas être taxée d'incitation à la violence.
Le spectacle est bien ficelé et n'a aucune scène où le sang gicle. Tout est suggéré de façon contemporaine : l'enfantement, la mise en croix, la disparition… On a même droit aux pleureuses en petites robes et talons hauts, transposant ainsi la souffrance de Marie lors de la crucifixion de Jésus, à celle de toutes les femmes dans le monde actuel pleurant un proche. Intéressant ! Un travail de mise en scène intelligent.

dimanche 8 octobre 2017

le génie d'Einstein

Voici 1,8 milliard d'années, 2 trois noirs ont violemment fusionné, engendrant la création d'ondes gravitationnelles qui sont parvenus jusqu'à nous le 14 août dernier. NASA

Ce n'est pas de la science-fiction, c'est la réalité qui confirme que notre science est encore bien archaïque… En 1915, Albert Einstein prédisait la présence des ondes gravitationnelles venant des trous noirs. 

C'est seulement maintenant que 3 astrophysiciens étatsuniens, Rainer Weiss, Barry Barish et Kip Thorne, ont reçu le prix Nobel de physique pour leurs travaux sur l’observation des ondes gravitationnelles.

vendredi 6 octobre 2017

Blade Runner 2049

 
Denis Villeneuve au travail, démontrant encore une fois son intelligence et son talent… un travail de maître, à 50 ans.
Tout aussi impressionnant que le 1er pouvait l'être en 1982, dont l'histoire se déroulait en 2019. Je l'ai revu mercredi, je voulais être certaine de me rappeler… À part la qualité de l'image, le scénario était plutôt maigre.
Tout concorde pour faire de celui-ci un chef-d'œuvre : la réalisation, les décors et les effets visuels, la trame sonore qui accompagne à merveille la grandeur des images, la distribution, le jeu de Ryan Gosling… avec l'impression que ça se déroule dans un futur proche.
Je crois tout de même avoir vue 1 petite erreur de continuité, je vais vérifier ça. Après l'avoir revu, je confirme qu'il y a une petite faille, à peine perceptible.
eh ! oui, encore du cinéma ! et je suis d'accord avec René Homier-Roy, c'est une expérience à part entière, un peu comme d'avoir pris du LSD… ce sur quoi acquiesce aussi Denis Villeneuve.

lundi 2 octobre 2017

les Rois Mongols


À croire que je ne vais qu'au cinéma depuis mon retour au Québec…*

Les Rois Mongols, faisant allusion aux adultes et aux figures d'autorité, est un film émouvant. On questionne la rigidité des convictions sociales qui forgent les limites imposées par des institutions oubliant trop souvent de faire preuve d'humanisme.
On ne peut pas rester insensible à ce film. J'ai toutefois des réserves, parce qu'encore une fois, on plante le film pendant une des périodes sombres de l'histoire du Québec, la crise d'Octobre, en 1970.
La langue est au centre de l'histoire et c'est souvent le joual qui est utilisé, en plus d'anglicismes et de sacres qui rendent les dialogues incompréhensibles pour la majorité des sociétés francophones hors Québec. Ce film est donc voué à un marché strictement national.
Ça m'a un peu rappelé Les Bons Débarras de Francis Mankiewicz, sorti en 1980 et scénarisé par le romancier et dramaturge Réjean Ducharme.

* et Blade Runner 2049 sort le 6…
Je reprends aussi l'habitude d'ajouter des majuscules en début de phrase, pour répondre aux commentaires de personnes qui n'aiment pas les minuscules après le point.

Loung & Angelina


d'abord, ils ont tué mon père, est assurément le meilleur film d'Angelina Jolie. une réalisation plus audacieuse et moins stéréotypée sur le plan technique, la qualité des images, les effets visuels plus recherchés, plus de créativité… en font un film de caractère, tout en incluant l'austérité du traitement.
avec tous ces enfants soldats et ce peuple errant, on ne peut s'empêcher de penser à Rebelle de Kim Nguyen et à tous les Rohingyas maltraités actuellement en Birmanie…
c'est d'après le récit de Loung Ung, qu'elle et Angélina ont co-écrit le scénario.
un film à voir pour mieux connaître l'histoire du Cambodge et de Maddox Jolie-Pitt qui est producteur exécutif.

lundi 18 septembre 2017

arts visuels

morinarte.wordpress.com

un lien qui mène à un site plus complet en arts visuels : graphisme, photographie, illustration, peinture, et même les voyages… presque tout y est ! 

mercredi 13 septembre 2017

Hochelaga, terres des âmes

les attentes étaient sans doute trop grandes… un film qui souligne les 375 ans de Montréal, en lui redonnant son nom amérindien tout en venant corriger l'histoire… disons que le défi était grand.
les scènes où apparaissent les dignes habitants d'Hochelaga sont merveilleuses. par contre, celles tournées au présent sont souvent trop longues, se perdant dans des détails inutiles.
ce n'est pas la fresque mémorable qu'on attendait, mais rétablir les faits reste notable, ce qui donnera à ce document une importance historique.
François Girard n'en est pas à son 1er film où les faits historiques côtoient l'actualité. Le violon rouge, film mémorable, était construit sur le même modèle.

"on the milky road"


ce film est une grande déception… je vais donc garder en mémoire Le temps des gitans, un chef-d'œuvre.
je donne raison à la critique, Emir Kusturica s'est essoufflé… un scénario décousu, où il s'égare dans du batifolage et un manque de subtilité.
était-ce un prétexte pour séduire Monica ?

dimanche 6 août 2017

land art


Patrick Dougherty a laissé un merveilleux Nœud celtique au jardin botanique, entrelacement de tiges de saule, matière noble qui se prête bien à l'exercice.
Espace pour la vie célèbre la nature avec le travail de ce maître du « land art » qui a aussi élaboré des structures permettant une collaboration du public.

samedi 29 juillet 2017

Lady Macbeth

le pouvoir de l'argent ne l'emporte tout de même pas sur tout…

jeudi 27 juillet 2017

le Bolac…


je publie à nouveau la photo du « Bolac », pour bien situer où je suis allée quelques jours pour me reconnecter avec la nature… j'y ai rencontré plusieurs membres de ma famille, immédiate et élargie, pour souligner l'anniversaire de la mort de Jeanne, ma mère.
c'est un lieu magnifique, peuplé de petits et grands animaux sauvages… en voici quelques-uns des plus accessibles…

 un colibri en plein vol…
 une des grenouilles se rafraîchissant dans une mare boueuse…
l'élégante et bien apprivoisée Janet, à sa toilette matinale.

vendredi 7 juillet 2017

Olafur Eliasson

beauty . 1993

« seeing yourself seeing »
Olafur Eliasson nous fait vivre des sensations lumineuses à travers des installations qui font parfois surgir des émotions, que je qualifierais de viscérales. c'est le cas du « rid'eau ». initialement, on a l'impression d'être devant des flammesquand c'est en fait une bruine changeant de couleur sous les rayons lumineux. le son de l'eau nous transporte dans un espace hallucinant…
ci-dessous, la surprise du changement du jet d'eau sous un éclat de lumière… et le dédoublement des formes sous les multiples filtres de couleur posés au sol.

bing bang fountain . 2014
 
multiple shadow house . 2010

polychromatic attention . 2016 / vues de profil et de face
24 sphères de verre partiellement chromées . peinture (24 couleurs . noir)
acier inoxydable

vendredi 30 juin 2017

vaut mieux tard que jamais…



L'immunothérapie consiste à utiliser le système immunitaire pour lutter contre la maladie. Cette approche prometteuse dans la lutte contre le cancer est privilégiée depuis quelques mois au Centre de recherche du Centre hospitalier de l'Université de Montréal.

constat qui me semble évident, au point où on peut se demander comment les médecins et chercheurs n'y aient pas pensé avant… on les dit pourtant détenteurs du savoir médical…

mardi 27 juin 2017

le grand Leonard…


comme promis, voici la murale, sur 9 étages, créée dans le cadre du festival MURAL, en hommage à Leonard Cohen, sur le mur sud de l'édifice Cooper, boulevard Saint-Laurent, un peu au sud du Parc Portugais, où il habitait.
une autre murale lui sera dédiée au centre-ville ouest, sur la rue Crescent près de la rue Sainte-Catherine, un autre lieu où le poète a résidé à Montréal. ce grand humaniste de renommée internationale n'en méritait pas moins…

dimanche 25 juin 2017

au naturel…


les activités estivales ont débuté dans les parcs… en plus des maints festivals qui envahissent la ville, il y a les moutons qui tondent le gazon pour s'alimentent tout en entretenant le gazon du parc du Pélican, dans le quartier Rosemont, donc tout près de chez moi.

jeudi 15 juin 2017

art de rue


murales en vis-à-vis à l'angle des rues St-Dominique et Marie-Anne


je me suis promenée sur les rues autour du boulevard Saint-Laurent où se déroule le festival MURAL. un peu partout, des artistes laissant leurs traces sur toutes les surfaces s'y prêtant, sur le sol, sur les trottoirs, sur les murs… je reviendrai avec l'hommage rendu à Leonard Cohen sur les 9 étages de l'édifice Cooper. je l'ajouterai une fois terminée.

mardi 30 mai 2017

Amazonie

 
l'Amazonie est une partie du globe qui m'a beaucoup fascinée et que j'ai explorée lors de mon séjour en Colombie. je suis tout autant intéressée par les pratiques chamaniques, ancêtres de la médecine naturelle. c'est d'ailleurs l'orientation de cette exposition, bien documentée et intéressante, malgré la grande affluence…
il y avait trop de monde au Musée Pointe-à-Callière. j'ai constaté trop tard que c'était la journée des Musées… ouf !
la Pointe-à-Callière est l'emplacement d'origine de Hochelaga, village iroquoien situé à proximité du « mons realis » le mont Royal. une bourgade colonisée par les Français, prenant le nom de Ville-Marie en 1642, qui deviendra finalement Montréal.

un esprit de la rivière

les géants…

le scaphandrier déambulant aidé des lilliputien-nes
photo : Jocelyne Beaulieu

3 jours où les géants se sont promenés dans le vieux-port et au centre-ville. j'ai hésité, mais après avoir vu les photos avec tous ces gens… je n'aime pas les foules, pas que je sois claustrophobe… je n'ai jamais aimé les rassemblements, les spectacles où tous ressentent la même chose au même moment…
il m'est aussi arrivé de rester coincée avec des ami-es, sans pouvoir bouger, dans une foule qui allait dans tous les sens… c'est paniquant !
c'est l'époque des festivals qui commence à Montréal, et c'est pas pour moi…

lundi 22 mai 2017

Blanco…

Blanco, mon bolide à 3 vitesses

j'avais totalement oublié, après 12 ans de relâche, les plaisirs que procure le vélo. la liberté ressentie en pédalant…
je voulais en trouver un l'an dernier, mais 3 personnes sont mortes raflées sur des coins de rue par des camions… pas encore remise de mes émotions, j'ai mis mes priorités ailleurs, découvrant ainsi le plaisir de marcher librement sur la rue.
et cette année, la sortie du soleil m'a donné envie de reprendre mes ailes… voilà qu'un petit vélo blanc m'attendait, semblable à celui que j'ai laissé derrière moi lors de mon départ pour le Maroc… tout pour me séduire. une fois équipé, j'ai fait ma 1ère escapade au parc Lafontaire pour une séance de pilates.
un autre des plaisirs de Montréal, des séances de yoga et de pilates gratuites dans les parcs de la ville.

samedi 20 mai 2017

c'est le cœur…

 pochette du roman c'est le cœur qui meurt en dernier de Robert Lalonde

un récit porté à l'écran par Alexis Durand-Brault, qui a su nous transporter dans l'univers de l'écrivain, interprété par Gabriel Sabourin. un film touchant, émouvant, criant de vérité, un bel hommage à la mère de Robert Lalonde, dont l'apparition est un privilège.
Denise Filiatrault et sa fille Sophie Laurin, jouent cette mère qu'on suit du présent au passé. une battante, déchirée par le sort de son fils, qui l'admire et qui l'aime.
un film qui traite d'un sujet encore trop tabou, dont Lalonde a réussi à se délesté… l'inceste.

jeudi 18 mai 2017

Montréal…

illumination du pont Jacques-Cartier
photo : Dario Ayala

on dit que Montréal a eu 375 ans hier, le 17 mai… parce que Paul de Chomedey sieur de Maisonneuve a fondé Ville-Marie en 1642, sur le site de la Pointe-à-Callière.
comme s'il n'y avait personne sur l'île avant qu'on vienne coloniser les Iroquois… qu'on a d'ailleurs très vite traité de sauvages.


d'accord, cela donnera de l'importance à la ville et au pont, qui devient une œuvre d'art sous la palette de Moment Factory et qui rivalise maintenant avec le stade olympique, dont on aperçoit le mat en arrière-plan qui, lui aussi, change de couleur tout au long de la soirée.
l'Orchestre métropolitain de Montréal accompagnait ce moment, sous la direction de Yannick Nézet-Séguin.

samedi 6 mai 2017

cercle vicieux…

le Cercle, organisme qui peut tout contrôler en unifiant les comptes des utilisateurs à l'échelle de la planète. l'œil qui est partout, qui voit tout, en tout temps et qui scrute la vie des usagers à la loupe.
ce n'est pas un grand film malgré les têtes d'affiche : Tom Hanks et Emma Watson, mais le dénouement soulage un peu du danger qui guette le monde et le manque de privacité dû au réseaux sociaux.

samedi 29 avril 2017

Dalida

« le public a pour moi le visage de l'amour. »
 
Sveva Alviti rend un bel hommage à la voix exceptionnelle, au charisme et au caractère de cette grande dame de la chanson française, qui a su mener une carrière internationale. après Barclay, c'est son frère Bruno qui devient son agent et emprunte le nom de leur frère aîné Orlando, tandis que sa cousine Rosy s'occupe du secrétariat.
Dalida aura toujours rêvé de fonder une famille, malgré ses nombreux échecs amoureux. les drames ont détruit cette femme qui croyait en l'amour et qui respirait pour le vivre passionnément. 
une diva émulée par nulle autre que Céline Dion…

jeudi 27 avril 2017

25° au parc Lafond

photo : Maude Ouellet

un bel après-midi passé avec Maude, qui pourrait être ma fille… personne dans mon entourage ne me ressemble autant.
on a mangé ici, en partageant les bases de la macrobiotique. on est ensuite allées profiter du soleil au parc Lafond, à 2 coins de rue, tout en essayant de refaire le monde, trop malade pour nos esprits idéalistes et éthérés.

lundi 24 avril 2017

papier 2017

Papier 2017 - Foire d'art contemporain d'oeuvres sur papier

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Papier 2017 - Foire d'art contemporain d'oeuvres sur papier

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Papier 2017 - Foire d'art contemporain d'oeuvres sur papier

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Daniel Erban . l'homme brisé . 2010 . technique mixte / carton

 Johan Creten


Nicolas Baier . Eternity . 2014 . acier inoxydable

la foire d'art contemporain d'œuvres sur papier à l'Arsenal
Arsenal Montréal est hébergé dans un ancien chantier naval de plus de 80 000 pieds carrés. Situé dans le quartier de Griffintown à Montréal. Arsenal art contemporain est une fondation privée vouée à la diffusion, à la promotion et au développement de l’art contemporain.

note : j'étais tellement impressionnée par le « nu au miroir », que j'ai oublié de noter le nom de l'auteur-e et le titre. c'est de la résine de synthèse.

lundi 10 avril 2017

Mouhcine Bentaleb

travail de Mouhcine Bentaleb, étudiant en 3e année graphisme de l'ÉSAV.
l'installation est au-dessus de l'entrée de la salle 013, où j'enseignais.
 
voici ce que dit Mouhcine de son travail :

« Il s'agit de votre prénom écrit en français puis en arabe. Je l'ai monté dans le balcon de notre école devant la salle 013. si vous êtes en bas et vous regardez en haut, vous allez voir votre prénom écrit en français. Et si vous êtes en haut et vous regardez en bas, vous allez voir votre prénom écrit en arabe. »

ce message comportait aussi des remerciements pour ce qu'il a appris en ma présence. ça me touche, droit au cœur, tellement il est reconnaissant de ce que j'ai pu lui apporter.
la relation avec les étudiant-es était très enrichissante, tant du point de vue humain que professionnel. ils me manquent…

mardi 4 avril 2017

les déesses…

GODDESSES & DEMONESSES
une performance avec les danseuses-chorégraphes espagnoles Blanca Li
et Maria Alexandrova, danseuses principales du ballet Bolchoï de Russie.

je suis un peu inquiète de la popularité du thème sur lequel je travaille depuis mon voyage en Inde en décembre 2011. le sujet sera épuisé quand je serai prête à sortir ma production. à l'origine ce devait être « Ô dieux ! » et je me suis dit que j'allais plutôt redonner les lettres de noblesses aux déesses…
la recherche a été faite dans la maison que j'ai louée, à Sidi Moussa, pour y travailler. il aurait été difficile de présenter ce travail au Maroc sans m'attirer la foudre des frères musulmans…
la majorité des pièces ont été distribuées avant mon retour. je viens tout juste de me remettre au travail.
et maintenant ce ballet présenté à New-York, il y a quelques jours…

mercredi 29 mars 2017

Chagall

 Jongleur au double profil . 1968
encre de Chine . pastel gras . papiers . 2 timbres du Vietnam . cachet Saïgon
gouache sur papier travaillé peint en jaune . Arches


un nom synonyme de liberté… Chagall s'intéressait à toutes les formes d'expression artistique, allant de la peinture à la sculpture, en passant par la scénographie et la création de costumes.
il aurait souhaité être musicien et cela transparaît tant dans son art, que dans le montage de l'exposition du Musée des beaux-arts. la musique supporte son œuvre, mise en évidence à travers les documents d'archives et les différentes installations.
une exposition à voir, qui nous éblouit autant qu'elle nous fait sourire.